Nos restos ne tourneraient sans un staff, c’est évident. On ne leur rend pas suffisamment hommage. Dans le même temps, on ne montre pas nos têtes non plus à longueur de temps sur Insta et FB. Rosaparks, ce n’est pas moi, elle, lui, c’est nous et vous, bien sûr.
Cette semaine, sur nos réseaux, vous verrez leur visage, nos visages. Rosaparks, c’est une fratrie de 4 au départ, qui atteint à une vingtaine de salariés aujourd’hui. On n’y prêtait pas attention à l’époque, car concentrés sur la rentabilité, la qualité, le retour client, mais ces 5 années nous ont appris un nouveau job ultra important: les ressources humaines.
C’est peut-être une cinquante de salariés au total voire plus qui ont endossé le costume Rosaparks sur 5 ans. Tout n’a pas été parfait. Des tensions, des conflits nous ont séparés, mais des liens se sont aussi créés. On a pu se sentir proche d’un étudiant de passage pour quelques mois au resto et qui te remercie comme un grand frère à la fin de son contrat ou d’un jeune ne sachant que faire de sa vie, découvrant un métier, la vie d’une petite entreprise, se projetant dans l’avenir fort d’une nouvelle expérience. On assiste aussi aux décès, aux naissances, aux expulsions, aux remises de titres de séjour… Bref, on vit avec nos équipes.
La mode des start-ups fait penser que tout est beau, tout est rose dans l’entreprenariat. Mais c’est faux, archi faux. Les bonnes relations ne s’achètent pas, ne s’inventent pas. Elles se font et défont, que tu bosses chez nous ou Google. On a mis 5 ans pour s’en rendre compte. Maintenant, on a appris à faire avec pour vous proposer les meilleurs burgers du game! Yeah!
#rspk5years